Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 21 mars 2014

Avant de balayer Cohen, Toulouse toilette le Pont Bayard profané par son infâme maire…


Heureux présage avant une élection municipale :
la plaque de la honte s'est éclipsée du Pont Bayard de Toulouse


Le trophée d'un jeune prince, fils de Harki

Depuis ce mercredi matin à Toulouse on entend beaucoup parler d'un 19-mars… Malik, un fils de Harki du Sud-Ouest, haletant d'émotion, confie à un ami une histoire aussi édifiante que bien réjouissante…

Depuis bientôt deux ans, ce fils de Harki était excédé de ce que le maire socialoppe de Toulouse, un dénommé Pierre Cohen, allant jusqu’au paroxysme de la provocation à l’égard des Piénoirs et des Harkis, ait fait déposer une plaque en souvenir de la date honteuse de la capitulation du 19 mars 1962, en lieu et place de celle dédiée à la gloire de Pierre Terrail, seigneur de Bayard, le grand chevalier sans peur et sans reproche. Depuis que le Pont Bayard a été ainsi souillé, Malik, ce jeune homme à l'âme princière, sentait l’ulcère le gagner, convaincu que rien n'apaiserait sa souffrance tant que cette plaque odieuse insulterait la ville de Toulouse si chère à de nombreux Harkis et Piénoirs…

Déjà l'an dernier, il avait pensé arracher la plaque, mais il n’avait pas osé. La nuit, à la veille d'un nouvel anniversaire de cette sinistre capitulation gaulliste, il a enfin eu la grâce de ne pouvoir laisser passer cette date sans agir. Il est donc passé à l’acte, à cinq heures, le matin du 19 mars, après avoir parcouru plus de deux-cents kilomètres séparant sa campagne de Toulouse. Après être grimpé sur un escabeau de peintre, il lui a suffi d’un fort tournevis et d’un marteau pour venir à bout de l’anneau de métal qui tenait la plaque arrimée au premier lampadaire public en venant du sud éclairant le Pont… qui ne pourra plus être dit "du 19 mars 1962″…  Si Cohen a encore un peu de vergogne ! Un Cohen qui espérons-le sera très bientôt éliminé du paysage municipal.

Magnifique témoignage d'un jeune prince à l'égard de ses pères harkis qui ont si fidèlement servi la France… Que chacun d'entre nous n’aurait-il donné pour que le Seigneur lui donne la grâce d'un pareil courage… D'être à sa place ou tout simplement avec lui ! Comme des dizaines de milliers de compatriotes, chacun de nous en avait sans doute rêvé. Lui, digne fils de Harki, il l’a fait. Convaincu que pour être encore plus utile ce geste devait être chanté, Malik nous livre une photo de son trophée témoignant à jamais de ce geste de bravoure…

Ainsi en attendant dimanche et de se laver de Cohen, Toulouse, ses Piénoirs, ses Harkis et tous ses Patriotes respirent déjà dans une ville un peu assainie…

Lecteur, si tu passes sur le Pont Bayard, jette un œil sur le lampadaire, le premier à gauche en regardant vers la gare. Il y avait là, jusqu’à cette nuit du 19 mars 2014, une plaque par laquelle l’anti-France toulousaine commémorait un crime innommable.  Une plaque qui n’y est plus. Comme bientôt un maire indigne.


N.B. pour les non arabisant : "malik" signifie "roi"…


Toulouse : la plaque du pont du 19 mars 1962, date de la capitulation française en Algérie, a été dérobée

Après l'Irak, l'Afghanistan, la Libye, la Syrie… l'Europe, le coup de trop ? La crise ultime…


Quand les États-Unis détruisent notre Europe… restons solidaires
Que nos dirigeants à la botte de l'ennemi soient inculpés de haute trahison…

Ukraine, la crise (d’hystérie) de trop ?




Le Bloc atlantiste nous a habitués depuis longtemps à camoufler ses petites et grosses boucheries stratégiques sous des océans de vertu outragée. Dressé sur ses ergots, il a ainsi torturé l’Irak pour sauver les Irakiens ; saccagé l’Afghanistan pour sauver les Afghans ; dévasté la Libye pour sauver les Libyens ; ruiné la Syrie pour sauver les Syriens etc… Sauf qu’à force de prétendre œuvrer pour éclairer le monde de sa lumière forcément divine, il s’est enfermé peu à peu dans un messianisme politique radical dont il ne contrôle plus la dynamique. Prisonnier de ses « grands principes » supposés; encagé dans son illumination permanente, il se retrouve aujourd’hui incapable de freiner la surenchère que lui impose sa posture dans une crise Ukrainienne qui pourrait bien être la crise de trop.

Le coup d’État mené à Kiev par le Bloc atlantiste pourrait donc bien avoir été le coup de trop. Alors que, off record, les derniers politiciens européens éclairés paniquent déjà à l’idée du saccage et du danger formidables que représenterait une détérioration trop forte des relations avec la Russie, personne ne semble en mesure de bloquer une mécanique qui a échappé à tout contrôle.

Pour l’heure, les sanctions prises sont bien sûr ridicules dans leur portée réelle pour la Russie. Et tout le monde le sait. Mais après tant de vociférations, de cris d’orfraie, tant de menaces, tant de vertu outragée, comment le Bloc pourrait-il faire marche arrière désormais, inverser la vapeur, calmer le jeu ?

Les États-Unis, véritable ennemi de l’UE

De leur côté, les États-Unis ne partagent pas tout à fait les mêmes angoisses que leurs laquais européens. Et pour cause : ce sont les Européens qu’ils envoient à la casse.

C’est que cette crise sert l’un des objectifs principaux de la stratégie de domination US, dont l’un des piliers a toujours été d’empêcher tout rapprochement significatif entre l’Europe et la Russie. Car les États-Unis savent que si un tel rapprochement, pourtant logique et naturel, devait s’opérer un jour, ils auraient définitivement perdu le contrôle du continent eurasien, et s’en serait fini de leur hégémonie. Voilà pourquoi les États-Unis mettent tant d’énergie à semer la discorde entre Bruxelles et Moscou ; voilà pourquoi ils ont mis tant d’énergie à diaboliser Poutine, à construire de toutes pièces une nouvelle guerre froide, notamment avec leur projet de bouclier anti-missile.

Drogués par la propagande hollywoodienne; prisonniers de leur fascination imbécile pour un « grand frère étasunien » qui n’a jamais existé que sur les écrans du soft power, les Européens sont tout simplement incapables de prendre conscience de ce double-jeu. Pourtant, comme dit le philosophe, les États étant, à l’état de nature, des monstres froids, les États-Unis n’hésiteraient pas deux secondes à plonger l’Europe dans la guerre et la désolation si cela pouvait servir leurs intérêts.

Aujourd’hui, le lien transatlantique représente ainsi pour l’Europe la pire des escroqueries, le plus terrible des malentendus que cautionne une élite européenne de technocrates totalement coupée des réalités du monde. D’où cet apparence d’union sacrée du Bloc atlantiste dans sa surenchère messianique.

Une crise pour les gouverner toutes

Cela dit, les États-Unis se font des illusions s’ils croient pouvoir sortir indemnes de la passe d’armes à laquelle ils poussent les Européens face à la Russie.

Car si des sanctions économiques réelles devaient être finalement prises contre la Russie, les conséquences seraient immédiatement catastrophiques en cas de riposte de Moscou. L’Allemagne plongerait la première dans la crise du fait de sa dépendance au gaz russe ; suivie de près du Royaume-Uni après l’éclatement d’une City qui ne pourrait, elle, survivre au retrait brutal des capitaux des oligarques russes. Sans parler de la possibilité que la Russie a de renoncer au dollar le cas échéant. La Russie n’a que l’embarras du choix pour riposter si elle le désire.

À terme, cette montée aux extrêmes ne manquerait pas de provoquer un séisme économique d’une amplitude inégalée à ce jour à l’échelle planétaire.

Et puis après, quoi ?

On en vient aux mains ? Aux ogives ? Pour savoir qui a la plus grosse ?
Pour l’heure, les jeux sont faits en Ukraine.
La Crimée est revenue dans le giron russe mais, sous l’impulsion étasunienne, le Bloc atlantiste reste prisonnier de sa narrative, de son illumination, de sa vertu outragée.
Et l’on peut bien sûr compter sur la presse-Système et tous ses pisse-copies embedded en mal de « Guerre d’Espagne » pour jeter de l’huile sur le feu, pour critiquer la mollesse de l’Europe le cas échéant et, à coup d’éditos dégoulinants de vertu, appeler in fine à la guerre.
Désormais, le seul qui pourrait désamorcer la bombe, c’est encore Vladimir Poutine qui, en bon joueur d’échecs, pourrait chercher à offrir une porte de sortie aux Occidentaux, comme il l’avait déjà fait en septembre 2013 pour Obama dans la crise syrienne.
Et c’est, semble-t-il, ce qu’il est en train de faire.
Reste à savoir si le Bloc saisira la balle au bond.
Sans quoi, la montée aux extrêmes qui s’annonce pourrait bien faire de la crise ukrainienne la crise de trop, la crise ultime pour le Système.

Source : Entrefilets le mardi 18 mars 2014


Les services secrets russes ont changé la donne

mercredi 19 mars 2014

Rivarol : vers une Bérézina électorale de la gôche, pour quelles conséquences bénéfiques ?



"Vers une Bérézina électorale de la gôche" Peut-être. Mais aucun des problèmes actuels du gouvernement de la France ne sera résolu par des élections… C'est tout le système qui est obsolète… C'est tout le personnel politique en charge des affaires ou y prétendant qui est à mettre définitivement hors-jeu… Que la signification des prochaines élections soit ramenée à sa vraie portée : insignifiante… Encore une tromperie prétendue "démocratique". Du dilatoire en attendant l'échéance inéluctable… 
 





Farida Belghoul : soirées veilleurs communes musulmans et catholiques

mardi 18 mars 2014

Présent : Intensifions les manifs pour la fin d'un système… Vers une VIème République !


Présent vous propose un numéro exceptionnel ce mardi 18 mars…
Soutenons Présent, seul quotidien promouvant les valeurs ancestrales françaises…​



Tribune libre de Jean-Yves Le Gallou

Vers une VIe République




Numéro exceptionnel de Présent,  en vente ce mardi 18 mars…





Le Printemps Français - Newsletter n°42 du 18 mars 2014

Newsletter du Printemps Français.
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Newsletter n°42 - 17 mars 2014
Printemps Français

L’article de la semaine
Le danger, c’est le marché. L’ennemi, c’est la commission européenne. L’idiot utile, c’est le gouvernement français. Avec le Grand Marché Transatlantique, les corporations transnationales pourront imposer leur loi aux États, aux régions, aux communes ! Interpellez vos candidats.








L'action de la semaine

« ...elle est demain ! »

Mobilisons nous ce mardi 18 mars à 19h30 place du Trocadéro à Paris, en soutien à Anna, Maxime, le Salon Beige etc.
Nos droits sont  attaqués et notre liberté violée : ça suffit !
Avec le soutien du Printemps Français, Solidarité Pour Tous et le CARP disons NON à ces injustices !

Éditorial

Mélanges.
FRAGILES SOUTIENS. Bien sûr on est content quand quelqu’un d’intelligent rejoint nos combats. Encore faut-il que ces soutiens soient cohérents : qu’Onfray s’alarme des méfaits du Genre, c’est bien (et ça énerve Yagg, qui réagit avec douceur), mais en discute-t-il avec pertinence et est-il réellement, en tant qu’athée hédoniste, un promoteur du bien commun ?… Qu’Arnaud Demanche explique que les Femen sont un « mouvement de connes », parfait, mais qu’un de ses principaux reproches soit le caractère religieux de leur démarche est tout à la fois bien vu… mais surtout très critique vis-à-vis de la religion.
DROIT DE SUITE. Notre ami Taillandier livre une amusante chronique contre le politiquement correct dans les humanités. Il remercie un de ses amis Facebook de lui avoir signalé la chose : notre lettre en parlait il y a deux semaines, laisse tomber le masque, François.
MORALE PUBLIQUE. Grâce à Taubira, on sait que le mensonge n’existe pas, qu’il n’y a que des imprécisions. Voilà une bonne façon d’assainir le débat. Dans le même genre schizophrène, il y a la façon dont le Trésor public traite le problème des SDF : on va droit vers le “tout carcéral moral”.
CRIMÉE. En France, on n’écoute pas le peuple quand il est dans la rue mais on célèbre le peuple de Kiev tout en interdisant à celui de Crimée de s’exprimer au nom des principes qui nous avaient permis de célébrer la naissance du Kosovo – et on ne parle pas des morts populaires au Venezuela en lutte, où les droits de l’homme sont un peu plus violés qu’en Crimée. Ça s’appelle une ligne politique, au PS et à l’UMP.
CONSOMMATION. Le système finit par générer ses propres pathologies. Outre la télé servile qui a du mal à se maintenir, les consommateurs se rendent compte qu’on leur vend n’importe quoi à n’importe quel prix : prise de conscience ? Mais il faut rester vigilant : les marques investissent lourdement dans la surveillance permanente, grâce aux objets connectés, et la manipulation sensorielle discrète.

On ne lâche rien!

Printemps Français
 

La question de la semaine

« Votre combat, c’est bien, mais où est l’urgence ? »

C’est une bonne question. Nous avons la réponse : c’est aujourd’hui et maintenant que nos libertés sont menacées. Elles ne sont pas menacées en Ukraine, elles sont menacées en France. En France où le débat “politique” ignore les vrais problèmes. En France où le gouvernement ment sans pudeur et impose son idéologie. En France où le libéralisme impose sa loi. En France où on nous surveille, nous inculpe, nos condamne dans le grand silence des bien-pensants. C’est maintenant qu’il faut réagir, c’est maintenant qu’il faut se faire entendre. Venez soutenir les militants à la manifestation de défense de nos libertés, le 18 mars, à Paris, à 19h30, au Trocadéro, venez montrer que vous n’êtes pas dupes, ni complices.


Le conseil de la semaine

Choisissez un thème.

Et travaillez-le à fond. Évitez la Crimée, parce que c’est assez couru, en ce moment. Choisissez des sujets français, ça parle plus. Prenez les PPP, par exemple : indépendance de l’État, fonctions régaliennes, lobbys industriels, complaisances technocratiques, pouvoir des corps intermédiaires, c’est un véritable exercice de démocratie. Après, enchantez les diners en ville, les conversations à la cafétéria et les réunions de famille un peu endormies.




© 2014 Printemps Français.

lundi 17 mars 2014

Crimée : les chiens aboient, la Démocratie passe…


Barak Hussein Obama, Bazar-Henri Lévy, Fabius aboient… jappent… pleurnichent… jusqu’à extinction de voix… Et Flanby ? Un flan avarié ça dégouline… ça flasque… ça n’aboie pas, voyons !  Et la Démocratie, une fois  c'est pas coutume,  est passée. Grande Dame !

Feu d'artifice à Simferopol
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Au sommaire de cette édition du 17 mars 2014 :

- La République est soit prodigue, soit à l'écoute, mais seulement avec les politiques.
- 5ème édition des Bobard d'Or : une belle réussite de la Fondation Polemia, contre la désinformation.
- Alexeï Pouchkov, président de la Commission des Affaires étrangères de la Douma, explique la position russe sur la Crimée, qui inspire la Vénétie. Avant la Bretagne ou la Corse ?
- Vitaly Klitschko, héros de la révolution ukrainienne, n'est-il pas qu'un porte-flingue de l'Union européenne ?
- Quand l'or se barre, le plomb arrive, généralement très vite : sombre perspective pour l'Europe de Bruxelles.
- Pendant que les USA font la fête en Ukraine, Fukushima, la Libye et la Syrie ont de bien tristes anniversaires.
- Français de Russie : rencontre avec le Taxi de Moscou, Stéphane Grangé.
- L'Académie des Beaux-Arts de Saint-Petersbourg sauvé des flammes, mais pas encore des eaux.
- L'émission "A bâton rompu" reçoit Hélène Richard-Favre, pour parler de la guerre oubliée de Crimée, de 1853.