Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 14 février 2014

Saint-Valentin : le Taj Mahal, pèlerinage universel des amoureux…




14 février 2014 : le Taj Mahal vu depuis l'autre rive de la Yamuna, le Mehtab Bagh (jardin du Clair de Lune)


D’une vie d’errance et de voyages, sans doute une seule vraie très grande douleur… C’était pour Noël 1974, je me faisais un immense plaisir à l’idée de me recueillir pour la naissance de Jésus au village chrétien de Bethléem, bien qu’en Palestine occupée… Malheureusement cela ne fut possible qu’au prix de brimades administratives et la contrainte d'affronter l'arrogance de l’envahisseur juif en sollicitant un laissez-passer !… Blessure et humiliation qui jamais ne s’effaceront… Réfutons donc définitivement les infamantes calomnies colportées sur l’islam par nos ennemis de l’ombre les sionistes, calomnies confortées par  leurs complices idiots-utiles exhibitionnistes islamistes niais propagateurs de métastases du cancer "israélien", dès lors incurable dans toute son ampleur terroriste… … En cette Saint-Valentin retrouvons les plus belles heures passées et célébrons les amours éternelles telles que nous les suggèrent de somptueuses pages de l’histoire de l’islam…


Mohabbat the Taj : la saga de l'amour



En l'an 1607, par un bel après-midi une grande fête anime le bazar royal… Les nobles pensionnaires du harem royal s'affairent à leurs achats… huiles, parfums, soieries… Les hommes sont strictement interdits au bazar de Meena, attenant au harem. Si l'un d'eux se faisait prendre, le bourreau lui trancherait les mains. Mais il y a des exceptions, des jours très particuliers où les rôles s'inversent, comme lors de notre carnaval catholique. Le bazar de Meena ouvre alors ses portes, la foule s'y presse, seigneurs et humbles, toutes classes confondues. Les courtisanes d'ordinaire si réservées, deviennent bruyantes, interpellent les uns et les autres. La musique et la danse sont de la fête. Les jeunes gens de l'aristocratie rivalisent en des joutes oratoires, c'est à qui trouvera la meilleure rime, qui sera le plus spirituel pour mieux capter l'attention des jeunes filles.

Le Prince Khurram, petit-fils d'Akbar, fils de l'empereur moghol régnant Jahangir, est un bien beau jeune homme de 16 ans, ses talents s'affirment déjà depuis plusieurs années… Au bazar Meena, soudain il tombe en arrêt, son regard vient de croiser celui de la belle princesse Arjumande Banu Begam, 15 ans. Une jeune fille tout aussi belle et talentueuse que le jeune prince. Coup de foudre. Dès l'aube, le lendemain, le prince sollicite de l'empereur son père l'autorisation d'épouser Arjumande. Jahangir accepte, mais diffère la date. L'année suivante, cependant le Prince Khurram est marié, non pas à sa désirée, mais à une autre princesse perse. Grâce au Ciel, la coutume musulmane n'exige pas la monogamie ; au contraire, les princes monghols se doivent d'entretenir de nombreuses concubines. Les apparences seront sauvées.

Les amoureux attendront encore cinq ans, sans droit ni de se parler ni se rencontrer… L'astrologue de la cour a fixé la date du mariage au 27 mars 1612. La cérémonie se déroule chez la fiancée comme l'exige la coutume musulmane. À minuit, le roi convie ses invités à partager un somptueux festin, honneur fort rare. Fasciné par le charme de sa nouvelle belle-fille, Jahangir lui accorde de nombreux privilèges dont celui de changer son nom. Désormais, elle serait "Mumatz Mahal" autrement dit "La Préférée du Palais".

Après le mariage, les jeunes époux restent des amants inséparables. Mumtaz Mahal allie beauté et élégance à des qualités de cœur appréciées de tous, elle est présentée comme modèle de la femme idéale. Le prince est devenu, quand à lui un homme accompli… Mais ce n'est que 16 ans plus tard, le 4 février 1628, qu'il accède au trône et devient le cinquième empereur moghol, Shah Jahan.

En dix-neuf années de vie commune, Mumtaz Mahal donna à l'empereur Shah Jahan quatorze enfants dont seulement sept vécurent. En 1630, alors que Shah Jahan dû aller réprimer la rébellion de Khan-e-Jahan Lodi à Burhanpur, dans le Deccan, Mumatz Mahal l'accompagna bien qu'elle fut enceinte. La naissance de l'enfant était annoncée et l'Empereur en reçut la nouvelle : leur quatorzième enfant, Gauhar Ara Begun, une fille en bonne santé venait de naître, mais aucune information quant à la santé de la mère. Des messagers furent envoyés et ce n'est que tard dans la nuit que l'Empereur apprit les mauvaises nouvelles : Mumtaz Mahal était au plus mal et le demandait. Shah Jahan se rendit immédiatement au chevet de sa bien-aimée, et ne la quitta plus. Au matin, elle s'endormit à tout jamais. L'Empereur se retira une semaine entière dans ses appartements, et quand il en sortit, il ordonna la construction d'un grandiose mausolée en mémoire de Mumtaz Mahal.

L'on dit que Mumatz Mahal aurait formulé deux souhaits avant de mourir, que son époux n'ait plus jamais d'autres enfants, qu'il fasse construire un monument à sa mémoire, un édifice capable de défier le temps pour proclamer l'éternité de leur amour. Les travaux débutèrent en 1632, et durèrent plus de vingt-deux ans. On fit appel aux meilleurs architectes, ouvriers et artisans venus de Perse, d'Europe, de l'Empire Ottoman…



Déposé et prisonnier de son fils Aurangzeb, de cette fenêtre du fort d'Agra
Shah Jahan a pu contempler le Taj Mahal  jusqu'à sa mort…
La qualité d'un amour n'implique pas la loyauté de la progéniture…

Sur la rive de la Yamuna, le Taj Mahal [تاج محل : "la couronne du palais", nom abrégé de celui de Muntaz] bâti de marbre blanc abrite la tombe de Mumtaz Mahal. Il a été imaginé et conçu comme un véritable joyau et, selon la lumière, se reflète sous des couleurs changeantes tout au long du jour, rappelant souplesse et changements d'humeur de la femme : rose à l'aurore, éclatant de blancheur à midi, doré au couchant, mystérieusement lumineux sous la clarté lunaire. L'harmonie des formes, l'élégance des lignes, la richesse des décors… toute la construction symbolise le caractère intemporel de l'amour et la beauté de Mumtaz Mahal. Le rêve universel de tous les amoureux…





Mohabbat the Taj : la saga de l'amour

a contrario :

La Saint-Valentin, un cadeau empoisonné pour la jeunesse thaïlandaise : "Valentine’s Day" ou "Losing Virginity Day" ?

Et encore, des amours tragiques au Taj Mahal…





jeudi 13 février 2014

Peillon : École publique, franc-maçonnerie, pédophilie et viol des jeunes consciences…

La "théorie du genre", rebaptisée "programme de lutte contre les stéréotypes sexuels", s'inscrit dans l'actuelle lubie socialiste de remplacer le catholicisme par une religion "républicaine", pérore le minhistrion de l'"Éducation Nationale", un certain Vincent Peillon. Le "gouvernement" voudrait ainsi supprimer, chez le tout jeune écolier, les conditionnements dus au biologique, à son sexe et aux traditions catholiques de ses parents. Le "gouvernement", armé des nouveaux "programmes" scolaires imposés dans toutes les écoles, prétendrait ainsi "libérer" les enfants des dogmes chrétiens sur l'homme et  la femme…




Farida Belghoul : "Journée de retrait de l'école"

Philippe Grimberg : L'École de la pédérastie

Farida Belghoul bat le rappel pour la "Journée de retrait de l'école" (JRE)

Aymeric Pourbaix : La Fontaine, au secours, ils sont devenus fous !

Peillon réaffirme sa détermination à tuer le catholicisme

Franc-maçonnerie : Quand l'UMP voulait sensibiliser au « genre » dès la maternelle

Pourquoi le combat du "gouvernement" contre "les stéréotypes de genre" dépasse largement le simple enseignement de l'égalité homme/femme

Civitas - Théorie du genre : l'idéologie totalitaire

Tomboy : un film militant qui n'a pas sa place à l'école

Ontario : un membre du Gouvernement impliqué dans des programmes contestés d’éducation sexuelle, accusé de faire et distribuer des films pédopornographiques !

Pédophilie : Parti de la charité, de la liberté et de la diversité

La pré-majorité à 16 ans, qu'est-ce que ça va changer ?

Comportements sexuels à risque chez les homosexuels masculins





mercredi 12 février 2014

Quand l'islam plaide pour une restauration de l'honneur et de la grandeur de la France…





Excellente vidéo… Un document à diffuser et méditer judicieusement… Que certains auront jugé terrifiant ? Pas tant que ça ! Un document qui ne peut que conforter dans leurs convictions ceux qui pensent que cet orateur et son auditoire plutôt que de haïr la France la méprisent… Un mépris frisant peut-être la haine ? Amour déçu… Amour de la France de ceux qui lors des deux Grandes Guerres, au Liban, en Indochine, en Afrique du Nord ont donné leur sang à une patrie en laquelle ils faisaient alors pleinement confiance. Une France qui a subi la débâcle en 1940, qui a été vaincue en Indochine, qui au mépris d’une constitution tout nouvellement votée oublia l’Union française et contraint à une indépendance non souhaitée l’Afrique noire française [cf. André Giresse, président de la Cour d’Assises de Paris de 1975 à 1985, et Philippe Bernert : Seule la Vérité blesse, L’Honneur de déplaire, Plon, 1987], une France qui abandonna lâchement l’Algérie… Républiques lâches et imbéciles, de la IIIème à la Vème… Défaites et renoncements amplifiés par cette inconséquente bassesse de repentance… République actuelle qui détruit la famille : relégation des vieux dans des mouroirs, euthanasie, dénaturation des enfants programmée par l’école et la théorie du genre, adoption d'enfants livrés à des pervers, procréation artificielle, mariage de couples de pédés ou de gouines… Sans oublier dans une actualité toute chaude, ce voyage d’un pitre, prétendu président de la France, qui en perdition s’en va se faire cajoler par les excès exhibitionnistes de compassion d’un complice américain… Face à ce mépris, une seule attitude : restaurer l’honneur de la France… Tâche immense… pour laquelle aucune solution n’est pour l’instant percevable… Tâche à laquelle font obstacle les sionistes, principalement ashkénazes et francs-maçons de "droite", pour lesquels les débordements de l’islam et son terrorisme bienvenus restent le meilleur rempart protecteur contre une solution à l’occupation de la Palestine… Piège sioniste grossier, certes, mais dans lequel tombent malheureusement la plupart d’entre nous…

samedi 8 février 2014

À Delhi il ne fait pas bon d'être de type tibéto-birman… Nido Taniam lynché à mort…


New Delhi, Nido Taniam, 19 ans,  lynché à mort parce que de type tibéto-birman

À Delhi, le lynchage d'un jeune garçon de l'Arunachal Pradesh, Nido Taniam, soulève depuis fin janvier le tollé chez les Indiens himalayens du nord-est. Depuis la communauté du Nord multiplie les protestations, face à l'échoppe du marché où Nido a été battu à mort jusqu'à la rue Jantar-Mantar, cette enclave de New-Delhi où affluent les protestataires de toute l'Inde. La bagarre avait éclaté suite aux remarques essuyées par le jeune homme sur son profil physique de type tibéto-birman. Des manifestations qui s'organisent autour du portrait du jeune étudiant, un visage adolescent barré d'immenses lunettes… « Nido est mort en martyr, car il était différent… L'Inde a joué son rôle dans l'histoire de l'anticolonialisme et de l'antiracisme aux Nations unies. Mais nous n'avons pas su voir le racisme chez nous » clame Anuradha Chinoy, professeur à  l'université Jawaharlal-Nehru…






L'Humanité : L’Inde meurtrie par le racisme


jeudi 6 février 2014

Robert Brasillach : Poèmes de Fresnes… "L’Enfant Honneur"



Robert Brasillach, le poète assassiné
Robert Brasillach, lors de son procès

Pierre Fresnay



Robert Brasillach, « Poèmes de Fresnes » dits par Pierre Fresnay 1/3


Robert Brasillach, « Poèmes de Fresnes » dits par Pierre Fresnay 2/3


Robert Brasillach, « Poèmes de Fresnes » dits par Pierre Fresnay 3/3




Au berceau de l’enfant Honneur
On a vu deux fées apporter
Deux présents pour l’enfant Honneur
Le courage avec la gaieté.

- A quoi, dit-on à la première,
Sert un présent comme le vôtre ?
– Presqu’à rien répond la première
A donner du courage aux autres.

- L’autre, dit-on à la seconde,
N’est-il pas de trop pour l’Honneur?
– Un enfant, répond la seconde,
A toujours besoin d’une fleur.

Robert Brasillach (30 janvier 1945)


Le 6 février 1945 Robert Brasillach était fusillé, victime des vagues de l'Épuration… L'avocat général Philippe Bilger retrace le parcours de Robert Brasillach ainsi que son procès dans son dernier livre : "20 minutes pour la mort, Robert Brasillach : le procès expédié" publié aux éditions du Rocher.

Un procès qui n'a duré que 6 heures et dont le délibéré a pris 20 minutes (du jamais vu) pour aboutir à la sentence de mort. 20 minutes pour tout revoir, tout peser, tout analyser. Bref, 20 minutes pour rien, car tout était déjà décidé bien avant l'heure :
"… rien, jamais, ne parviendra à justifier cette froide résolution mise en œuvre par une cour d'exception et validée par un général de faire disparaitre un esprit, une âme, une vie de la surface de la France."