Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 16 novembre 2015

"Le management de la terreur" ou la commensalité entre les États et le terrorisme…


Comment les dirigeants des États de l'OTAN cajolent le terrorisme et s'en servent dans leurs situations difficiles… Un art dans lequel Hollande et les socialistes français sont passés maîtres…



Un entretien où est établie l'incontestable responsabilité de l'État socialiste dans les attentats perpétrés ce 13 novembre à Paris et revendiqués par son homologue l'État islamique…

Un entretien avec un spécialiste incontesté de l'observation du "Management qui explique comment dans la pratique, en France "terroristes se revendiquant de l'État islamiste" et "dirigeants politiques d'un l'État socialiste" sont commensaux… Autrement dit, ce qui profite à l'un profite à l'autre.

De ce point de vue-là tout attentat commis en France est infiniment plus "productif" que n'importe quelle action visant directement la Syrie et son peuple… Ainsi immanquablement de nouveaux attentats seront commis en France. Le terrorisme y gagnera toujours un retentissement médiatique sans pareil. Un pouvoir socialiste discrédité et aux abois en saisira l'occasion unique d'un tapage médiatique démagogique pour un appel pervers à une union sacrée contre un prétendu ennemi de la Nation mais hypocritement chéri du pouvoir.

Face à ce constat, la seule problématique est de savoir comment dissocier les intérêts des uns et des autres… La réponse est claire : seul un changement radical de la nature du pouvoir en France permettra la rupture de cette commensalité.



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