Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 11 juin 2014

Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front national, rappelle ses devoirs à une Marine dévoyée


Au delà de ses faiblesses passées de père et de sa douleur présente, Jean-Marie Le Pen s’engage avec courage et détermination dans le sauvetage d’un Front national envahi par les rats : Aliot, Collard, Philippot… viles complices des sycophantes de la bienpensance…
Honneur à Jean-Marie Le Pen !!!




Lettre ouverte de Jean-Marie LE PEN,
président d’honneur du Front national
à
Marine LE PEN,
présidente du Front National


            
       Le Président d’honneur
Madame Marine LE PEN
Présidente du Front National
8 parc de Montretout
92210 Saint-Cloud

Si tu peux supporter d’entendre des paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles...
Tu seras un homme mon fils !
C’estla vérité qui vous rendra libres !
               Saint-Cloud, le 11 juin 2014
Madame la Présidente,
Après m’avoir accusé, sans m’entendre, d’avoir commis une « faute politique », vous faites supprimer, sans m’en avertir, du site officiel du Front National, le « Journal de bord » que je publie depuis 366 semaines sans incident notable.
Je ne peux accepter cette injustice supplémentaire qui suit d’ailleurs la campagne médiatique diffamatoire déclenchée par les sycophantes, chiens de chasse de l’antisémitisme, pour l’emploi du mot « fournée ».
Cette dénonciation de mes propos est, hélas, banale et n’aurait pas pris d’ampleur, en cette fête de la Pentecôte où l’Esprit-Saint descendait sur la tête des apôtres, sous la forme de langues de feu, si cette calomnie odieuse n’avait été accréditée par les commentaires maladroits d’un responsable FN et celui d’un Député, qui n’est pas membre du Front National, tout en lui devant son élection, mais surtout par votre condamnation d’une « faute politique ».
Je suis victime d’une interprétation malveillante et diffamatoire qui a été faite par des ennemis politiques ou des « idiots utiles ».
S’il y a eu « faute politique », ce n’est pas de mon fait, mais celui de « responsables » du Front National qui l’ont accréditée par leurs déclarations.
Vous me faites grief de n’avoir pas anticipé les éventuelles attaques dont je pouvais être l’objet, autrement dit, de ne pas m’être appliqué, une censure préalable volontaire comme dans les pays totalitaires.
Mais vous-même, n’avez-vous pas été mise en cause par votre déclaration sur « l’occupation » de rues par des fidèles musulmans  ou encore par votre présence à Vienne, à un bal, réputé « nazi » par nos ennemis ?
Vous estimez-vous donc fondée à sanctionner le fondateur et Président d’honneur du Front National, en outre, Député européen depuis 30 ans et brillamment réélu avec quatre colistiers ?
Cependant, tout ceci est insignifiant par rapport à l’avenir de notre mouvement, de ses dizaines de milliers d’adhérents et de ses millions d’électeurs.
Insignifiant aussi par rapport à l’avenir de notre France gravement menacée par une décadence générale, par une immigration massive qui va s’aggraver dans les mois qui viennent, par l’insécurité, le chômage, les déficits budgétaires et sociaux, la crise de l’éducation…
Seul le Front National est capable d’enrayer cette marche aux abîmes et de redresser la situation. C’est sa mission sacrée et c’est elle qui doit vous préoccuper essentiellement.
Cela dit, je ne puis accepter une sanction injuste qui prive, de surcroît, des milliers de Français, ici et dans le monde, du message politique de mon Journal de bord.
Au reste, accepter en silence d’être victime d’une injustice, c’est s’en rendre complice.
Je ne fais que demander justice, en appelant à votre autorité, la simple réparation d’un dommage injustifié.
Dès lors, je considérerai dans l’intérêt commun que l’incident est clos.
Je vous prie, Madame la Présidente, d’accepter les devoirs que je vous présente.
Jean-Marie LE PEN

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