Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 12 mars 2014

Le Printemps Français - Newsletter n°41 du 11 mars 2014



Newsletter du Printemps Français.
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Newsletter n°41 - 11 mars 2014
Printemps Français

L’article de la semaine
Philosophie de la dette ou revendication locales ? C’est le même sujet, celui des individus face aux puissances de l’argent.








L'action de la semaine

« Les sentinelles ne lâchent rien ! »

Ce vendredi 7 mars, veille du bilan du Grenelle de la famille, plusieurs centaines de sentinelles se sont mobilisées,
Bravo à eux !

Éditorial

Éducation
Comme les grande écoles françaises ne sont plus très prisées et nos universités ne sont pas très bien notées dans les classements qui se succèdent, comme l’Éducation nationale fabrique des illettrés et laisse s’installer la violence, ainsi que le rabâchent enquêtes et études, comme l’enseignement libre paraît fonctionner mieux et comme l’enseignement hors contrat redonne aux parents le rôle que devrait leur garantir la déclaration des droits de l’homme (article 26-3) – eh bien, pour toutes ces bonnes raisons, l’État a décidé, comme tout bon organisme fasciste :
• d’éduquer les enfants dès leur plus jeune âge à son idéologie perverse, tout en prétendant qu’il n’y a pas de problème
• d’empêcher les parents d’accomplir leur devoir, tout en prétendant développer une relation de confiance
• de stigmatiser toute opposition, tout en prétendant respecter les opinions (quitte à diffuser d’aberrants messages).
• de dénoncer toute critique, tout en prétendant être ouvert au dialogue
• de restreindre la liberté d’enseignement, tout en prétendant assurer un service public.
En ces temps de concertation et de consensus si prisés qu’il paraît légitime que des ouvriers bloquent des usines et des manifestants ravagent une ville sans être inquiétés, retirer symboliquement son enfant de l’école ou même simplement essayer de discuter avec les équipes enseignantes sur des œuvres qui, au minimum, sont militantes et non pas neutres, est d’emblée suspect, condamné et blâmé.
Nous sommes donc, en France, avec un système éducatif qui a failli sur ses missions principales (bien avant que l’actuel gouvernement n’aggrave les choses) et qui se constitue en bastion idéologique contre les parents tout en prétendant, admirable tartufferie, qu’il ne faut pas instrumentaliser les enfants dans le débat ! Autrement dit, qu’il faut leur livrer nos enfants sans réagir, pour le principe totalitaire que l’État, par nature, sait mieux que l’individu ce dont les citoyens en herbe ont besoin.
Cette question de l’éducation, c’est notre combat premier : toute la génération qui s’est levée en masse fin 2012, toute la génération qui est en train d’apprendre à se libérer des carcans idéologiques de la bienpensance, qu’aurait-elle été si on lui avait seriné dès la maternelle de ne pas écouter les parents, de ne pas croire les religions, et d’obéir aveuglément à la parole sacrée des enseignants ?… Si l’État veut arracher les enfants à leurs parents, ce n’est pas pour leur apprendre à penser, c’est pour leur apprendre à obéir. Nous devons tous réagir, même ceux d’entre nous qui se croient protégés.

On ne lâche rien !

Printemps Français
 

La question de la semaine

« Et pour les municipales, vous conseillez quoi ? » [bis]

C’est une bonne question. Nous avons la réponse : participez. Engagez le débat avec les candidats en participant aux chats, et surtout préparez vos arguments en fonction des vrais enjeux : libertés individuelles ou État omniprésent ? Si vous vous sentez critique ou sceptique (comme pour les européennes), méfiez-vous de la popularité digitale des candidats et diffusez de faux tracts pour dénoncer les propositions toutes faites (d’ailleurs, même les vrais sont mal faits ou  très mal faits).

Le conseil de la semaine

Racontez votre vie (et vivez-la).

Parce que la vie n’est pas si simple, ou parce que vous avez l’impression qu’on ne vous écoute pas, ou parce que vous avez envie de raconter votre expérience. Votre témoignage est forcément important, partagez-le. Et partagez le reste : vos compétences, votre nouvel enthousiasme, toute l’économie.




© 2014 Printemps Français.

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