Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 31 décembre 2013

2014… La Valse des Quenelles ?


Valls en duo avec Dieudonné ? Excellent coup de pub bénévole, en tout cas !
Chaque soir, le "Théâtre de la Main d’or" jouant à guichets fermés,
Dieudonné aura à cœur d'évoquer celui à qui il doit tant !



Souhaitons qu’en 2014 tous ces politiciens, au mieux néfastes que par leur incapacité et leur et incompétence mais plus généralement cupides, sectaires aux ordres d’intérêts philosophiques et financiers incompatibles avec le service de la Nation, aient à déguster de somptueuses Quenelles…


Incompétence, cupidité, mépris de l’intérêt général caractérisent tous les politiciens formatés par l’idéologie démocratique universelle. Bien difficile de citer une Nation qui y échapperait… Le mal semble partout présent à des degrés divers, incrusté dans des institutions qui plutôt que d’en prémunir la Nation, ont progressivement été forgées pour favoriser le jeu pervers de ces politiciens…

Certaines Nations, celles qui ont élevé une institution suprême au-dessus du jeu politicien, sont plus aptes à se défendre, voire à inverser le courant des forces destructrices… Ce sont les Monarchies, même constitutionnelles, dans la mesure où le monarque bénéficie d’une très haute autorité morale.

Mettre le holà au désordre et à l’incurie politicienne peut résulter d’un sursaut populaire avec l’instauration d’un gouvernement de salut public… Cela peut aussi être du devoir de l’Armée du Peuple, de l’Armée de la Nation, par un coup d’État. Un coup d’État non pas destiné à confisquer le pouvoir - comme on tend par trop à nous le faire croire - mais à rétablir un climat de paix civique propice à une réflexion visant l’émergence de nouvelles règles de vivre ensemble, de légiférer, de décider…

Un coup d’État qui n’atteindrait pas l’institution suprême qu’est une Monarchie sera éminemment bénéfique sans provoquer de heurts majeurs. Il est bien évident que dans une République dans laquelle l’instance majeure est une Présidence dont la prétendue légitimité ne repose précisément que sur les règles remises en cause par ce coup d’État ses répercussions seront plus difficiles à maîtriser. Un tel coup d’État dans une République exige donc une volonté sans failles de la part de ceux qui le déclencheront et n’admettra aucune tergiversation.

Insoumission au système : que de Quenelles en perspective !


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