Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 29 juin 2012

Entretien avec Robert Ménard, une critique sans concession du monde des médias français




Robert Ménard : “On paie très cher le fait d’être considéré comme sulfureux”

Quelques citations extraites de l’entretien :

“Je suis naïf en pensant que les gens sont curieux de points de vue qui ne sont pas les leurs. Or je m’aperçois que les gens préfèrent se voir dans un miroir.”

“Le contre-pouvoir médiatique, ce sont les gens qui n’achètent plus les médias, et qui pensent “Qu’ils crèvent !”".

“La presse est de gauche, même le Figaro.”

“La lutte des classes dans les médias n’existe pas, tous les journalistes pensent à peu près la même chose, excluent à peu près les mêmes gens.”

“Si Minute m’apporte son soutien je l’accepterai tout autant que si l’Humanité m’apporte son soutien avec ce qui arrive à Médias.”

“Le nombre de fois où j’entends dans les rédactions on ne le connaît pas, donc on ne l’invite pas, ça me sidère.”

“Sur le fond, les médias sont consanguins. Vous dites guerre d’Algérie, on vous répond Benjamin Stora, c’est pavlovien. Les médias crèvent de ça.”

“Les médias ne sont pas simplement de droite ou de gauche, ils manquent de curiosité, on découvre sur Internet tout un monde qui existe.”


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire