Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 21 janvier 2012

Les Français ont un Roi ! Qu'attendons-nous pour l'appeler ?

« Je suis au service de la France et si les Français le veulent, je serai toujours là. »  Louis XX
« Je tiens à remercier toutes celles et tous ceux qui aujourd’hui sont nourris par une vision d’avenir, celle-là même qui a déjà bâti la France millénaire, et je leur dis d’avoir confiance.

La France et le monde vivent en ce moment des temps difficiles où les fausses certitudes d’hier sont remises en causes, où tout chancelle faute de socle solide. Notre premier devoir est un devoir de mémoire et de fidélité aux valeurs et aux principes incarnés par la royauté française.

« Pour moi, la monarchie est une forme de continuité, un lien avec l’histoire. C’est une notion évolutive, moderne. Avec la mondialisation, on perd parfois le nord... La monarchie est un repère. Vous ne pouvez pas vous construire un futur si vous ne connaissez pas votre passé. »

« Je n’entends pas m’adresser aux nostalgiques mais aux porteurs d’espoirs ; à ceux qui n’ont pas peur des lendemains […]. Je le fais avec d’autant plus de conviction que cet espoir n’est pas une utopie. Il est prouvé en permanence par les dix siècles d’histoire que ma famille a écrits avec les Français. […] Chaque fois ce fut l’union de la dynastie avec les Français qui a permis de reprendre le chemin des lendemains meilleurs. Quelle belle leçon ! Cet espoir, en tant qu’héritier légitime des Rois de France, je souhaite l’incarner. »

« La question institutionnelle n’a jamais été plus actuelle. Elle constitue un enjeu politique de première importance et tous les Français doivent souhaiter qu’elle soit publiquement débattue, pour ne pas laisser à d’illégitimes oligarchies le soin de trancher pour nous la question de notre avenir national.

Il n’appartient évidemment pas à l’aîné des Capétiens de résoudre seul cette difficile question institutionnelle. Mais il ne m’est pas interdit de regarder avec sympathie et intérêt le développement de ces discussions au sein de la société française. Et il est de mon devoir de rappeler à tous les Français de bonne volonté, après tous mes prédécesseurs, ce que mon regretté père appelait les « vieilles recettes » de la royauté capétienne.

Pas plus que vous, je ne sais ce qui viendra « après la Ve République ». Ce que je sais, en revanche, c’est qu’aucun régime ne pourra durablement s’implanter en France s’il cherche à dresser une France contre l’autre ; à occulter le glorieux passé de notre patrie ; ou à conférer, plus ou moins discrètement, le pouvoir à une petite caste de privilégiés. En réfléchissant à notre avenir commun, il est sage d’écouter les leçons de notre passé. »

« Notre chance n’est-elle pas de posséder une tradition vieille de mille cinq cents ans sur laquelle notre pays est construit ? Tradition qui s’incarne dans une famille dont j’assume actuellement les devoirs. Aucun de nous ne sait ce que sera demain, mais nous savons, en revanche, tous que cet avenir sera ce que nous en ferons, sans place à la fatalité. Il est ce que notre volonté voudra qu’il soit. […] »

Louis de Bourbon, duc d'Anjou, Louis XX

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